L’Hôtel De La Plage (4)

Aurélien

Je fais la route en étant à la fois concentré et à la fois encore en train de faire l'amour avec Julien. Cette nuit avec lui m'a profondément excité et nos petits jeux du matin au réveil m'obsèdent encore. Je sens encore sa main qui me caresse la chatte et sa queue qui me visite en profondeur tout en douceur. Après deux heures de route je m'arrête sur une aire de repos pour me détendre, respirer et manger quelques fruits que j'ai apportés. J'ai une terrible envie de me masturber, je ne débande pas dans mon short et je caresse le trou humide de mon gland qui pointe sous le tissu, coincé entre ma cuisse et la toile de coton beige.
Il y a un groupe de gendarmes en grande conversation un peu plus loin mais ils n'ont pas l'air de faire de contrôle pour le moment. Un d'eux se retourne, un grand mec costaud, bandant avec sa gueule virile, sa barbe rousse, son torse musclé moulé dans son polo réglementaire bleu ciel et des jambes fermes qui tendent le tissu du treillis bleu marine. Nos regards se croisent et il me regarde une seconde de trop. Je m'en veux, je ne voulais pas attirer l'attention des forces de l'ordre. Les militaires continuent à échanger sur le même mode visiblement volubile puis le beau roux vient dans ma direction. L'air de rien je remonte dans ma voiture sans donner l'impression de vouloir m'échapper mais l'intention est bien celle là. Trop tard.
- Bonjour monsieur, gendarmerie nationale, vous avez les papiers du véhicule s'il vous plait ?
Il se colle à ma portière et je crois à peine ce que je vois. Une queue énorme en érection dans le treillis. Le renflement horizontal est impressionnant, je ne peux pas en détacher mon regard. Le beau mec inspecte mes papiers mais ne trouve rien d'anormal.
- Ca vous intéresse ?
Je manque de m'arrêter de respirer. Il ne peut y avoir qu'un sens à sa phrase. Tendant vers moi à hauteur de mon visage son sexe caché mais pourtant aussi visible que s'il était à poil au milieu de l'aire d'autoroute il est l'incarnation même de la provocation.

Je ne réponds rien, je ne sais pas quoi dire.
- Alors ?
- ....euh.....c'est que.....
- pas assez grosse ?
Là je manque de m'.
- descendez du véhicule, il faut me montrer votre triangle de sécurité.
Il s'écarte un peu, j'ouvre la portière et vais ouvrir le coffre. Je me penche pour trouver le coffret en plastique noir qui contient le triangle luminescent et je sens sa main qui me caresse la raie à travers mon short. Prise ferme qui fait oublier la barrière du tissu. J'ai l'impression que ses doigts curieux sont en train de fouiller ma fourrure intime.
- mmmmm.....beau petit cul...
Je ne sais pas quoi faire. Il m'excite à fond, personne n'est à proximité donc je ne peux pas appeler à l'aide et surtout je sais au fond de moi que je n'en n'ai pas du tout envie. Je me laisse caresser, vaincu pas le désir. Il passe la main sous la ceinture un peu lâche de mon short et son index atteint la moiteur de mon anus.
- mmmmm t'as envie que je te baise on dirait....
J'ai la gorge sèche..
- on va aller derrière et je vais te montrer ce que je sais faire dans une belle petite rondelle comme la tienne...
Je mouille et je sens mon lubrifiant couler sur les poils de ma cuisse.
- allez viens
Je me redresse prêt à le suivre. Il pose les yeux sur la trainée humide.
- Oh...mais tu mouilles bien déjà.....c'est bon ça....
Soudain son talkie walkie grésille.
" - Lieutenant ?
Il n'est visiblement pas content d'être dérangé.
" - Oui ?
" - un très grand excès de vitesse, on part en poursuite
" - OK, j'arrive
- faut que j'y aille.....putain....qu'est-ce que j'avais envie de te baiser.... Allez bonne journée !
Il part en courant rejoindre ses collègues, enfourche une moto tous phares et feux allumés et se lance à la poursuite de l'automobiliste flashé en très grand excès de vitesse. Je reste un peu abasourdi par ce qu'il vient de se passer, frustré de ne pas avoir connue son sexe au fond de moi mais peut-être aussi rassuré de ne pas l'avoir pris compte tenu du volume du pieu viril.
Je dois bien reconnaitre quand même qu'il m'a vraiment mis dans tous mes états et que j'ne veux au chauffard qui a interrompu prématurément nos activités dans la nature.
Je reprends la route et j'arrive à l'hôtel de la plage en fin d'après-midi. Mon père et mon oncle Yann sont à Vannes chez le banquier, ma mère est sortie faire du shopping avec une cliente de l'hôtel avec qui elle est devenue amie depuis plusieurs années qu'ils viennent en vacances chez nous. J'espère que leur fils Bastien sera là aussi, je m'entends bien avec lui mais nous n'avons pas de relations plus intimes que celles de copains de vacances. J'ai toujours eu envie de faire l'amour avec lui mais rien dans son comportement ne m'a jamais laissé penser qu'il pouvait être attiré par les garçons. Nous faisons du surf et de la voile ensemble. Il est doué comme navigateur et je me demande même si il n'avait pas l'intention de faire un formation de moniteur de voile. Je m'installe dans ma chambre et comme à chaque fois que je reviens je suis content de retrouver mes affaires, mes souvenirs d'enfance et tout ce qui me replonge dans l'ambiance de ces étés heureux au bord de la mer. C'est dans cette pièce que je me suis masturbé pour la première fois à l'âge de treize ans je crois et je me souviens que les images mentales qui m'avaient fait jouir étaient celles du sexe de mon professeur de sport du collège dont on pouvait deviner chaque détail à travers le tissu de son survêtement rouge. Je suis presque sur en y repensant maintenant qu'il ne portait pas de caleçon et qu'il passait ses journées à provoquer chez nous des émotions complexes en exhibant une virilité plus que troublante. Je me revois, un jour où il était accroupi en train de s'occuper d'un de mes camarades de classe qui s'était blessé lors d'un exercice, fasciné par le bas de son dos couvert de poils bruns et le premiers centimètres d'une raie sombre découverts par le survêtement tendu à craquer. Un cul de mec viril comme je les aime et dont je ne pouvais plus décoller mon regard.

Je repense à Julien et j'ai furieusement envie de lui. Il faut que je l'appelle. Il ne répond pas alors je choisis les sms :
- A/ Hello, suis bien arrivé. Envie de toi
Quelque minutes plus tard, la conversation s'engage
- J/ Salut Aurélien, moi aussi, je pense qu'à toi. J'arrive pas à bosser
- A/ Cool....on peut se parler là ? envie de jouir en entendant ta voix
- J/ suis coincé au boulot encore deux heures
- A/ Fuck....peux pas attendre...;-)
- J/ moi aussi envie de baiser ton petit cul comme ce matin
- A/ t'as aimé ?
- J/ à ton avis ?
- A/ oui....je sens encore ta queue.... j'ai une idée...
- J/ Oui ?
- A/ je vais aller jouir dehors....je me filme....tu mâtes et tu jouis sous ton bureau...
- J/ oh....NON.....enfin....OUIIIIII.....je bande là
- A/ moi aussi.... je me prépare et te sms quand ça commence... à tout de suite..
J'ai trop envie. Je prends mon sac à dos, une serviette et une bouteille d'eau. Je connais un petit chemin qui part derrière l'hôtel qui n'est fréquenté par personne et que je me garde bien de dévoiler au premier venu. Il aboutit à une sorte de plateforme rocheuse en surplomb d'une petite grève. Personne n'y va, la plage est en galets et l'accès par bateau dangereux à cause d'un courant qui pousse vers les rochers coupants qui bordent les deux cotés de l'anse. Je suis toujours venu là quand j'avais besoin d'être seul. Je pose mes affaires et repère un rocher rond, à hauteur idéale pour m'y asseoir. En face une autre rocher un peu plus haut me permet d'installer mon iphone. La journée est encore ensoleillée mais cette partie de la plage est déjà à l'ombre. Je fais des tests pour vérifier que les images prises par mon téléphone sont de bonne qualité. Je me mets à poil. Une fois que j'ai trouvé l'endroit idéal pour caler mon iphone j'envoie un message à Julien
- now....et je joins le lien qui point vers la diffusion en live....
Je m'installe sur le rocher, les jambes écartées.
...offrant ma queue à l'objectif. Je n'ai pas débandé tout le temps de l'installation et ma main entame de longs va-et-vient verticaux le long de mon sexe. Je mouille déjà bien en repensant à toutes les émotions de la journée. je vérifie l'écran de mon téléphone, et une icône me confirme que j'ai un spectateur en ligne. Un peu rejeté en arrière et appuyé d'une main sur le rocher chaud, je caresse mon pénis en alternant la douceur et la vigueur. J'aime faire tourner mon index autour de mon gland bien mouillé, le glisser sous le prépuce, m'attarder sur le point sensible sous le gland là où s'attache le prépuce. Puis j'aime tirer à fond vers le bas la peau protectrice pour montrer à Julien mon gland violacé gorgé de sang et de plaisir. Je l'imagine à son bureau, les yeux sur l'écran, sur ma queue et la sienne qui commence à couler de plaisir dans on caleçon de beau petit professionnel convenable. Je préfère ne pas m'interrompre. Je ne peux pas lire ses commentaires au fil de l'eau mais je les imagine. Je les regarderai après... J'ai une petite surprise pour lui. J'écarte encore un peu plus mes jambes poilues qu'il a léchées avec tendresse une bonne partie de la nuit puis je me penche sur moi. La forme du rocher que j'ai choisi avec soin, la taille de ma queue et ma souplesse naturelle héritée de ma mère me permettent de me sucer assez facilement. Je pose mes lèvres sur mon gland, je suis bien, pas trop mal au dos, ça tire un peu mais ça va. Je tiens ma queue de la main gauche et pour m"aider je m'appuie sur la tête. Ma bouche avance et fait glisser mon prépuce. J'adore redécouvrir à chaque fois le goût doucereux de ma verge. Aucune queue que j'ai pu sucer jusqu'à maintenant n'a le même parfum que la mienne. Je me sens bien , détendu, et je peux avancer sur mon sexe jusqu'à sentir mon pubis taillé effleurer mes lèvres. Cool ! Aujourd'hui j'ai réussi à m'avaler tout entier ! Je commence à monter et descendre sur ma tige qui vibre de plaisir sous mes propres caresses. J'imagine Julien....de l'autre coté des câbles internet qui amènent sur son écran les images de ma bouche qui me masturbe.

En général ça fait de l'effet. En tous cas moi les vidéos d'autofellation me font jouir assez rapidement. Il y a toute la complicité des amoureux de la queue résumée dans ce privilège réservé à certains et qui fait fantasmer tous les autres. Je suis concentré sur les émotions que je voudrais procurer à Julien....je l'imagine près de moi....je le sens...là.....je sens sa queue dure dans ma main... Lui....le gendarme roux....sa main qui me caresse la raie sur l'aire d'autoroute...le pénis de Julien dans mon trou au réveil....tout ça finit par faire trop. Je ne peux plus résister et je m'abandonne. Mon gland gonfle encore un peu entre mes lèvres et répand sur ma langue, dans ma bouche tout entière, des jets épais de mon jus qui jaillit avec une énergie étonnante de mon sexe avalé. J'ai l'impression de m'être vidé de litres de mon sperme. La bouche donne toujours cet effet démultiplicateur et un peu magique. Je n'avale pas ma semence pour la donner à Julien. Quand j'ai fini de jouir je me redresse un peu, je sors ma queue de ma bouche et laisse couler sur mon gland tout mon jus bien blanc et encore visqueux. Le sperme tombe, épais, et glisse le long de mon sexe pour venir achever sa course sur mon pubis et entre mes cuisses où il s'écoule doucement.

Je vois Julien....je l'imagine....j'aimerais qu'il ait joui dans son caleçon malgré lui....coincé à son bureau et emporté par le désir. Il faudra qu'il me raconte... J'essaye de reprendre mon souffle. Les deux mains posées en arrière sur la pierre je regarde mon pénis reprendre petit à petit sa flaccidité. Il vient se poser doucement sur ma cuisse droite....brillant de mon jus de mec... Je me sens parfaitement heureux....comme si j'avais fait l'amour avec Julien....comme ce matin.... Je prends mon iphone pour arrêter la vidéo live....

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